Dans un essai de phase, l'anti-PD-1 dostarlimab (GlaxoSmithKline) a induit une réponse objective chez une partie des patients atteints d'un cancer gastro-intestinal et prétraité, avec instabilité des microsatellites (MSI) ou altération du système de réparation de mésappariement de l'ADN (dMMR), selon des données présentées samedi lors du symposium sur les cancers gastro-intestinaux organisé en visioconférence par l'American Society of Clinical Oncology (ASCO).
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