Seulement un peu plus de la moitié des patients atteints d'un cancer du poumon non à petites cellules (NAPC) ont bénéficié d'une recherche de mutation EGFR en 2015-2016 et pour ceux qui ont pu bénéficier d'un traitement par inhibiteur de tyrosine kinase, l'efficacité en vie réelle semble similaire à celle rapportée dans les essais cliniques, selon une étude présentée au Congrès de pneumologie de langue française (CPLF), vendredi dernier.
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