Dans les deux ans suivant un diagnostic d'infection par le VIH, le risque de dépression est multiplié par trois et celui de suicide par 11 en comparaison avec une absence d'infection, et ces troubles persistent sur le très long terme, selon une étude de cohorte danoise dont les résultats ont été diffusés mardi, en amont de l'European Congress of Clinical Microbiology & Infectious Diseases (ECCMID), qui se tient du samedi 15 au mardi 18 avril à Copenhague.
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